Good Bye, Lenin ! Un film de Wolfgang Becker

Un film de Wolfgang BECKER - 2003 - Durée 1h 58

Sorti en Février 2003 en Allemagne et le 10 Septembre 2003 en France

Avec Daniel BRÜHL, Katrin SASS, Chulpan KAMATOVA

Musique de Yann TIERSEN

Geschichte wird gemacht. Nur für den 21jährigen Alex (Daniel Brühl) geht nichts voran. Kurz vor dem Fall der Mauer fällt seine Mutter (Katrin Saß), eine selbstbewusste Bürgerin der DDR, nach einem Herzinfarkt ins Koma - und verschläft den Siegeszug des Kapitalismus. Als sie wie durch ein Wunder nach acht Monaten die Augen wieder aufschlägt, erwacht sie in einem neuen Land. Sie hat nicht miterlebt, wie West-Autos und Fast-Food-Ketten den Osten überrollen, wie Coca Cola Jahrzehnte des Sozialismus einfach wegspült, wie man hastig zusammen wachsen lässt, was zusammen gehört. Erfahren darf sie von alledem nichts : Zu angeschlagen ist ihr schwaches Herz, als dass sie die Aufregung überstehen könnte.
Alex ist keine Atempause gegönnt. Um seine Mutter zu retten, muss er nun auf 79 Quadratmetern Plattenbau die DDR wieder auferstehen lassen. Schnell stellt er fest, dass sich dieser Plan schwieriger umsetzen lässt als erwartet...

L’avis de la Presse

Monsieur Cinéma - Matthieu Conquet

Plutôt que de céder au plaidoyer politique, Wolfgang Becker s’intéresse avant tout à la vie de ses personnages, au quotidien et à ses repères (...). Un équilibre fragile qui fait du bien.

Le Figaro - Marie Noëlle Tranchant

A l’opposé de la brutalité communiste, le film refuse de faire du passé table rase, et y gagne en humanité. (...) On comprend le succès en Allemagne de cette excellente comédie à l’écriture originale, bien rythmée, accompagnée d’une bonne musique de Yann Tiersen, qui mérite un aussi heureux destin en France.

Le Parisien - Emmanuel Marolle

Un petit bijou. Le genre de films qui vous prend par surprise. (...) On en sort au bord des larmes, émerveillé par tant de subtilité

Chronic’art - Charlotte Garson

Si la vision du communisme comme douce utopie relève davantage du réservoir de gags que d’une réflexion politique pertinente, le travail scénaristique et les acteurs (dont Daniel Brühl, sosie de l’enfant photographié sur les paquets de chocolat Kinder !) parviennent à rendre ce film attachant

Studio - Thierry Cheze

La surprise de la rentrée. Une oeuvre politique juste, légère et brillante

Ciné Live - Grégory Alexandre

Communisme et capitalisme en prennent plein leur grade dans cette comédie douce-amère sur la fin des illusions . Mais l’ensemble est un peu trop factice pour toucher au coeur.

Lien : Site officiel